Menu

les premiersPar Xavier Paquet - Lagrandeparade.com/ Les Premiers c’est un conte moderne sur une rencontre atypique et singulière, celle d’un homme et une femme un peu en marge.

Lire la suite : Les Premiers : une belle écriture, tranchante et vive, pour décrire le sentiment amoureux

le squarePar Christian Kazandjian - Lagrandeparade.com/ Le Square de Marguerite Duras en appelle à la primauté du dialogue physique à l’heure de la communication sans frein.

Lire la suite : Le Square : paroles en liberté...

un espoirPar Xavier Paquet - Lagrandeparade.com/ Un Espoir c’est à la fois une présence définie par une absence, une absence qui confirme une présence.

Lire la suite : Un espoir : Qui décide de ce qui fait une mère?

invisiblesPar Julie Cadilhac - Lagrandeparade.com/ Par le truchement d’une histoire individuelle, celle de Martin, agent immobilier trentenaire, dont la mère vient de décéder en lui laissant un coffret contenant le secret de l’identité de son père qu’il n’a jamais connu, Nasser Djemaï vient rendre un hommage saisissant à tous ces hommes qui ont traversé la Méditerranée pour trouver un emploi, ont travaillé dur - et au mépris de leur confort - pour venir en aide à la famille restée là-bas, et se retrouvent dans des conditions extrêmement précaires, à la retraite, obligés de vieillir en France pour toucher leurs indemnités…alors qu’ils rêvent de rentrer définitivement au pays.

Lire la suite : Invisibles : un hommage émouvant aux travailleurs immigrés à la retraite, écartelés entre les deux...

chinookPar Julie Cadilhac - Lagrandeparade.com/ Conte ésotérique troublant, « Je pense, écrit James Gargano, que Ligeia ne peut se mieux comprendre que comme l'histoire d'un homme (le narrateur et non Poe) qui, ayant vécu une fois dans le royaume de l'idéal, cherche à recréer son extase perdue, au prix même de la folie.» Ligeia, c'est l'expression éperdue d'une volonté d’immoralité, un refus de la mort et du deuil…jusqu’au paroxysme.

Lire la suite : Ligeia : une adaptation théâtro-circassienne du conte préféré d’Edgar Allan Poe

misanthropePar Julie Cadilhac - Lagrandeparade.com/ Sur le plateau, l’oeil se réjouit dèjà de l’excentricité des accoutrements et des coiffes d’Alceste, de Philinte, d’Oronte…L’ouverture de cette comédie en cinq actes flirte avec la farce…la préciosité se pare de plumes ridicules et de sonorités rock le temps d’un sonnet, on esquisse une chorégraphie déjantée, d'une saveur désopilante, au son d’un clavecin espiègle, le rythme est enlevé, Philinte séduit par sa rondeur bienveillante, Alceste désarçonne en ours bougon et Célimène à la robe blanche parée de légèreté convainc sous les lustres charmeurs qui accompagnent ce monde mondain.

Lire la suite : Le misanthrope de Rodolphe Dana : une mise en scène originale à la diction perfectible

hebertotPar Christian Kazandjian - Lagrandeparade.com/ Ecoute donc voir, ou comment s’ouvrir au monde malgré le handicap. Couché dans un lit d’hôpital Tirat (P’tit rat), qui vient de subir, comme chaque été, une opération aux yeux, reçoit la visite du bon géant Raph. Celui-ci lui apporte en cadeau une cornemuse.

Lire la suite : Ecoute donc voir : une lumière d’espoir dans les ténèbres

oubliPar Justina Zilyte - Lagrandeparade.com/ C'est dans une belle maison de campagne, autrefois cadre bucolique d'une histoire d'amour tumultueuse entre Pierre, Paul et Hélène que se déroulent les retrouvailles du trio et de leurs nouvelles familles. Alors que Pierre est resté dans la maison, prisonnier d'un passé douloureux, Paul et Hélène sont partis d'abord ensemble puis séparément refaire leur vie.

Lire la suite : Derniers remords avant l’oubli
 : un huit clos qui met en lumière la faillite des êtres et des mots

nuePar Christian Kazandjian - Lagrandeparade.com/ Toute nue, mêlant à un siècle de distance Feydeau et Norén, démonte les jeux politiciens des mâles, sur le mode vaudevillesque. On connaît la trame de la pièce de Feydeau, Mais n’ te promène pas toute nue. Ventroux, député aux dents longues, se rêve ministre (d’ailleurs le bruit court).

Lire la suite : Toute nue : strip-tease politico-comique

honneurPar Félix Brun - Lagrandeparade.com/ Cela aurait pu être un repas de mariage que l’on va qualifier de normal, moment de fête et de réjouissances, instants de bonheurs et d’empathie !

Lire la suite : A la table d’honneur : une comédie fort drôle…pour une soirée d’horreurs !

pour en finir Par Victor Waqué - Lagrandeparade.com/ Le lavoir moderne parisien accueille la compagnie « Le théâtre de l’Eclat » pour sa pièce « Pour en finir. ». Elle retrace de l’intérieur, une partie de l’histoire d’Antonin Artaud, artiste génial et touche à tout du milieu du 20eme siècle. Pétri de troubles psychiatriques à la fin de sa vie, on lui demande d’enregistrer une émission de radio, dans l’attente mi-curieuse mi-malsaine de voir ce qu’il en résultera. Une pièce violente, immersive qui met en avant la souffrance d’un homme malade.

Lire la suite : Pour en finir : immersion dans la folie

un tramwayPar Xavier Paquet - Lagrandeparade.com/ Accueil jazzy au coin du réverbère, deux comédiens jouent saxo et guitare, nous plongeant dans l’ambiance des années 1950.

Lire la suite : Un tramway nommé désir : une pièce prenante portée par des acteurs convaincants

hebertotPar Xavier Paquet - Lagrandeparade.com/ Transmission c’est l’histoire d’une rencontre. Celle de l’homme avec sa foi. Celle du prêtre avec Dieu. Surtout celle entre deux personnalités : Mark Dolson, jeune diacre au séminaire Saint François, et le père Fraley, prêtre aguerri. L’histoire d’une rencontre qui débute lorsque Mark interrompt l’homélie de ce curé adulé de ses paroissiens pour l’interroger sur son rôle.

Lire la suite : Transmission : une quête de vérité entre humour et profondeur

trahisonsPar Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / D’une formule lapidaire, on pourrait résumer « Trahisons » : le mari, la femme, l’amant… Ce serait un roman, un film ou une pièce de théâtre vu et revu sur le thème du fameux triangle amoureux. Mais là, on est au théâtre. Au théâtre avec Harold Pinter, le dramaturge britannique prix Nobel de littérature 2005. Au théâtre pour une pièce écrite en 1978, traduite et adaptée en France une première fois dans les années 1980 par Daniel Mesguich, et reprise en cet hiver 2020 par le grand Michel Fau, dans une adaptation d’Eric Kahane.

Lire la suite : Trahisons : du boulevard à la sauce Pinter…

Sous-catégories


À propos

Les Categories

Les bonus de Monsieur Loyal