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Jamais plusPar Christian Kazandjian - Lagrandeparade.com/ Jamais plus, ou la prise de conscience d’un groupe de jeunes allemands entrant en résistance au cœur du 3e Reich.

Lire la suite : Jamais plus : les roses blanches de la jeunesse

La vignettePar Julie Cadilhac - Lagrandeparade.com/ La genèse de ce spectacle est simple : l’acteur a pour habitude de chiner dans les brocantes à la recherche d’objets insolites à utiliser ensuite dans ses futures créations. Il tombe sur une contrefaçon de L’origine du monde de Gustave Courbet…on lui soumet un prix, 200€, qu’il trouve excessif et refuse…Quelques minutes plus tard cependant, le doute le saisit.

Lire la suite : L’origine du monde : une fantaisie spéculative désopilante de Nicolas Heredia

fourberies de scapinPar Victor Waqué - Lagrandeparade.com/ Le grand classique «Les fourberies de Scapin » est revisité au « théâtre 13 » pendant les quatre semaines à venir. Si l’histoire reste inchangée et que les textes sont en grande partie tirés de l’œuvre originale, la pièce est méconnaissable. Car la comédie n’a pas lieu au XVIIeme siècle. Non elle a lieu aujourd’hui, avec des jeunes qui aiment le rap, parlent vulgairement, et s’appuient sur une culture 2.0. Seuls l’amour et la haine autant que la recherche de justice traversent juvénilement les époques. Un spectacle rafraîchissant d’où jaillit la force et l’énergie de la jeunesse d’aujourd’hui.

Lire la suite : Les fourberies de Scapin : quand les mots de Molière se mêlent à la culture jeune actuelle

L'affranchiePar Christian Kazandjian - Lagrandeparade.com/ L’Affranchie, témoignage-fiction, à travers une écriture tout de violence et retenue, retrace la chronique d’une renaissance.

Lire la suite : L’Affranchie : une chronique familiale de douleur et d’amour

darlingPar Guillaume Chérel - Lagrandeparade.com/ "C’est la plus belle adaptation d'un de mes romans !", clame Jean Teulé, qui assistait à la représentation de Darling (édité chez Julliard), le 13 mars dernier, au Studio Hébertot, à Paris. Il s’agit (malheureusement) du récit basé sur la vraie vie (de galère) d’une de ses cousines normandes, qui a grandi dans une modeste ferme, le long d’une nationale. Dans une famille inculte et violente. Elle voulait qu’on l’appelle « Darling », depuis le jour où elle a découvert la CB (« cibi » moyen de communiquer des camionneurs dans les années 80), pour oublier les coups, reçus depuis l’enfance. Elle voulait aussi qu’on entende la voix de toutes les femmes battues, en France et dans le monde. Cela donne un livre et un spectacle parfois insoutenables, tant c’est triste, injuste et inhumain. Heureusement, le metteur en scène, Laurent Le Bras, a su rendre le jeu des acteurs rock-and-roll (Simon Chomel à la guitare électrique) et visuellement moins plombant. Le jeu de l’actrice (Claudine Van Beneden), qui joue Catherine, y est pour beaucoup.

Lire la suite : Darling : duo électrique pour une femme en souffrance

oncle vaniaPar Sylvie Gagnère - Lagrandeparade.com/ Jacques Hadjaje et la compagnie des Camerluches ("camarade, compagnon, complice" en argot) nous entraînent dans une petite ville du Limousin, tout entière centrée autour de l’Usine, celle de Dieuleveut, qui fabrique des robinets. Depuis plusieurs générations, la majorité des habitants de la région y bossent, souvent de parents en enfants.

Lire la suite : Oncle Vania fait les trois-huit : au cœur du théâtre se cache l’utopie… Une pièce à ne pas manquer !

le boisPar Xavier Paquet - Lagrandeparade.com/ Il y a les claques que l’on se prend, enfant ou adulte, au propre comme au figuré, et qui vous marquent à vie. Celles plus douces et surprenantes qui vous procurent une agréable sensation. « Le bois dont je suis fait » est de cette veine !

Lire la suite : Le bois dont je suis fait : quand l'écorce se fissure en famille

Cyrano OstinatoPar Guillaume Chérel - Lagrandeparade.com/ Le théâtre a tendance à vous barber? Vous aimeriez être sur scène plutôt que d'être spectateur mais vous n'osez pas ? Rester assis deux heures, sans bouger, vous rase ? Vous avez envie d'approcher les actrices ? Mieux, que ce soient elles qui vous prennent la main ? "Cyrano Ostinato Fantaisies", troisième création immersive de la Compagnie du Libre Acteur, est un spectacle fait pour vous. L'année dernière on avait pu découvrir la même troupe, au même Théâtre Lepic (qui s'appelait alors encore le Ciné 13 : Claude Lelouche était l'ancien propriétaire), dans "Smoke Rings", une immersion dans l'intimité du couple. Cette fois c'est au coeur même de la troupe de théâtre que vous allez pénétrer. D'ailleurs, vous serez accueillis comme des élèves en cours... mais n'en disons pas trop. Car c'est justement le charme troublant de cette expérience immersive. D'être surpris, interpellé, en douceur, voire de participer au spectacle.

Lire la suite : Cyrano Ostinato Fantaisies : Quand Cyrano prend un coup d'chaud !

Laurent SeksikPar Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / Génie de la science au 20ème siècle, il a publié la théorie de la relativité restreinte (1905) puis celle de la gravitation, appelée aussi théorie de la relativité générale (1915). Il a contribué au développement de la mécanique quantique et de la cosmologie, et acquis la réputation éternelle avec une équation (E=mc²) montrant l’équivalence entre la matière et l’énergie d’un système. Son explication de l’effet photoélectrique lui vaudra, en 1921, le prix Nobel de physique. Voilà, pour la vie publique, ce qu’on connait d’Albert Einstein, né à Ulm (Allemagne) le 14 mars 1879. Côté vie privée, on sait à peine qu’il a eu trois enfants : deux garçons (Hans Albert et Eduard) et une fille (Lieserl). Et qu’il a vécu un drame immense avec Eduard, souffrant de schizophrénie et interné dans un hôpital psychiatrique de Zurich, le Burghölzli pendant trente-trois ans, de 22 à 55 ans… ce qui a inspiré à Laurent Seksik « Le cas Eduard Einstein », d’abord un roman à succès (2013, 120 000 exemplaires vendus en France, traduit en dix-huit langues), puis une adaptation pour le théâtre. 

Lire la suite : Le cas Eduard Einstein : le fils oublié selon Laurent Seksik et Stéphanie Fagadau

ben hPar Sylvie Gagnère - Lagrandeparade.com/ Un soir de novembre 1925, Charles et ses amis de toujours errent dans les rues de Paris. Une fois de plus, ils terminent leur course au comptoir de la Taverne du Baron, fascinés par l’ambiance sordide qui y règne et qui incite au scandale... Les jeunes employés de ce piano-bar morose rêvent d’un succès semblable à celui du Bœuf sur le toit ou de la Coupole, hauts lieux festifs et emblématiques de cette période.

Lire la suite : La Boule rouge : une comédie musicale sympathique

poingsPar Julie Cadilhac - Lagrandeparade.com/ « Kamel-la-poisse » est communément ce qu’on l’on appelle une « petite frappe » de quartier. Un jour malheureux, sa colère s’abat sur la mauvaise cible et il se retrouve pris dans un maelström judiciaire.

Lire la suite : Mes poings sur les i : un monologue immersif poétique de Soufyan Heutte

BurgerPar Valérie Morice - Lagrandeparade.com/ Ne soyez pas surpris si à l’entrée on vous demande de noter un mot de vocabulaire sur un papier et de le déposer dans un bocal (non mais vraiment, le premier qui vous passe par la tête, car le fait qu’il soit réfléchi apportera beaucoup moins de spontanéité au show !)  … et si franchement vous hésitez à y renseigner votre nom en vous disant « oh lala ça sent le traquenard ! », vous auriez tort de vous priver. Car au final vous allez passer un très bon moment.

Lire la suite : Burger Comedy Show : un show qui envoie du steak !

peursPar Victor Waqué - Lagrandeparade.com/ Comment réagit-on en situation de peur ? Quelles sont les conséquences d’un état de stress ? La réponse se retrouve dans notre quotidien autant que dans l’Histoire : l’Homme perd sa lucidité et ses moyens. Le spectacle « Peur(s) », accueilli par le théâtre « L’étoile du nord », traite des conséquences de la peur, à l’échelle individuelle autant que collective. Que se passe-t-il lorsqu’un État et ses hommes politiques perdent leur clairvoyance, acculés par la menace ? Ils jonglent avec leurs lois. Et les dépassent. « Peur(s) » est un spectacle admirable qui nous transporte dans l’engrenage de l’effroi à travers un exemple très actuel. Celui de la prison de Guantánamo. A l’aide d’une belle mise en scène et d’un jeu d’acteur de qualité, nous réfléchissons sur le devenir d’une démocratie en état de crise.

Lire la suite : Peur(s) : Lorsqu’une démocratie outrepasse ses lois

Sami FreyPar Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / Dans la pénombre, une porte s’ouvre. Au fond, près du mur bronze métal, deux bancs. Régulièrement, vrombit une alarme lumineuse. Vêtu d’un long trench coat sombre, sac vert en bandoulière dont il en sortira à un moment une banane, clochard céleste, il entre. S’assied. Dit : « J’associe, à tort ou à raison, mon mariage avec la mort de mon père, dans le temps. Qu’il existe d’autres liens, sur d’autres plans, entre ces deux affaires, c’est possible. Il m’est déjà difficile de dire ce que je crois savoir ». Se lève. Poursuit : « Je suis allé, il n’y a pas très longtemps, sur la tombe de mon père, cela je le sais, et j’ai relevé la date de son décès seulement, car celle de sa naissance m’était indifférente, ce jour-là »… La voix est chaude et profonde, unique, à des milliers reconnaissable instantanément. Pour la troisième fois en dix ans avec « Premier amour », Sami Frey parle le Beckett. Pour la troisième fois, crinière brune tirée, élégance éternelle à 81 ans, l’acteur sert, mieux : incarne les mots du romancier, poète et dramaturge irlandais. 

Lire la suite : Premier amour : quand Sami Frey parle le Beckett…


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